Jeudi 13/04 (20h)
Les Tréteaux de Viosaz
Les Amoureux (de Carlo Goldoni)
La mise en scène et la scénographie contemporaine de ce texte classique vous plongent dans un bar américain des années 50/60, où les comédiens jouent, dansent s’embrassent et se disputent.
Ecrite en 1759, cette pièce de Carlo Goldoni, qu’on surnommait le
« Molière italien », parle d’un sujet toujours brûlant d’actualité : qu'est-ce que l'amour ?
Entre ruptures et réconciliations, entre tendresse, colère et jalousie, vous découvrirez deux amants autour desquels gravitent une galerie de personnages hauts en couleurs !
Vendredi 14/04 (20h)
Les Mots-Lierre
The Cuckold's Manor (de Michel Lefebvre)
Depuis deux cents ans, en Angleterre, dans le manoir des Cuckold, errent « paisiblement » trois fantômes. L’arrivée inopinée de la jeune notaire du comté et d’un promoteur décidés à transformer le manoir en centre commercial va bouleverser leur tranquillité. Et la venue d’une petite nièce, héritière de la propriété, ne va rien arranger à l’histoire, laquelle se complique encore lorsque la notaire se voit saisie d’un étrange sortilège.
Samedi 15/04 (20h)
Théâtre Royal Caritas
Un grand cris d'amour (de Josiane Balasko)
« Un grand cri d’amour » c’est d’abord, suite à l’indisponibilité imprévue d’une comédienne, les retrouvailles entre Hugo et Gigi, deux comédiens qui se sont passionnément aimés, puis séparés et haïs. C’est du théâtre dans le théâtre et nous les suivons pendant les répétitions du spectacle qui les réunit.
C’est aussi une image sans complaisance de la vie d’artiste, où la perspective de la gloire fait oublier les amis, et les amours, et peut mener à la mise sur pied de magouilles d’un cynisme effrayant.
C’est aussi notre reflet. Que ne ferions-nous pas pour assurer notre place au soleil ?
Dimanche 16/04 (15h)
Les Bénévol'Art
A part ça tout va mal ! (de Gilbert-Claude Leriche)
Charles-Henri, universitaire peu motivé, a eu une liaison avec une femme qui l'a quitté dès la naissance de leur bébé, Paul-Emmanuel. Dépendant financièrement de son père diplomate au Groënland, il ne l'a pas mis au courant. Lorsque les parents de Charles-Henri débarquent à l'improviste, convoqué par Matignon, Charles-Henri n'a d'autre solution que de demander à sa nouvelle voisine, dont le mari et le fils sont absents, de se faire passer pour sa femme. Mais il serait trop simple de croire que tout sera aussi facile et trop facile de croire que tout sera aussi simple.
En effet, tout se passe presque bien lorsque le père de la voisine, Papounet, un hypocondriaque porteur de poisse, arrive à son tour, avec son épouse. Il est dépassé par les évènements, croyant que l'on parle de son propre petit-fils de 5 ans lorsqu'il s'agit de Paul-Emmanuel.
L'arrivée de la baby-sitter, nouvelle maîtresse de Charles-Henri puis de la mère du bébé, Anne, viendra augmenter le trouble. La pièce se termine avec l'arrivée fracassante du mari de la voisine et tandis que l'on appelle les secours, le père de Charles-Henri reçoit un coup de fil lui annonçant que son rendez-vous avec le premier ministre est reporté et qu'il décide de rester.